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10 conseils pour conclure vos ventes

Une question qui m’est souvent posée est : « Patrick, je suis un excellent vendeur, mais j’ai de la difficulté à « closer » mes ventes, aurais-tu des trucs pour moi ? »

D’abord si vous êtes dans la même situation et que vous avez de la difficulté à fermer vos ventes, vous n’êtes pas un excellent vendeur! Vous êtes un vendeur moyen, au mieux. Les meilleurs vendeurs excellent à fermer leurs ventes. Voici 10 conseils afin de vous aider à devenir, comme on dit dans le métier, un excellent « closer » et incidemment une personne qui gagne beaucoup, beaucoup d’argent!

1. Osez demander la commande
Plus de 50% des vendeurs n’osent pas demander la commande à la fin de leur présentation. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils ont peur de se faire dire non! Si c’est votre cas, changez de métier, car si vous désirez obtenir du succès en vente, vous devez demander souvent la commande et lorsque vous demandez souvent la commande, forcément, vous aurez beaucoup de NON. La bonne nouvelle est que vous aurez également beaucoup de OUI. La vente est en grande partie un jeu de chiffres. Peu importe ce que vous voulez dans la vie, la réponse sera toujours NON si vous ne demandez pas.

2. Assumez la vente
Agissez toujours comme si vous étiez déjà certain que la décision de votre client potentiel sera positive. Ne doutez pas de votre offre, ne doutez pas de vos prix et surtout, ne doutez pas de vous. Si vous doutez le moindrement, votre client le sentira. Dans la vente 1% de doute = 100% d’échec. Assumez toujours que le client achètera ce que vous avez à vendre. La confiance est contagieuse.

3. Soyez convaincu et convaincant
Avant de vendre votre solution, vous devez d’abord l’acheter vous-même. Êtes-vous vraiment convaincu que votre produit ou service est le meilleur achat pour votre client ? Si oui, de grâce, démontrez-le !!! À moins que vous ne vendiez des cercueils, soyez enthousiasme, joyeux et passionné pour ce que vous avez à vendre. Bougez votre corps, parlez plus rapidement, souriez, faites une démonstration, etc. La vente est avant tout un transfert d’émotion entre le vendeur et l’acheteur. Si vous avez de la difficulté à fermer vos ventes, c’est peut-être qu’il vous manque un peu d’énergie, d’émotion et d’enthousiasme lors de vos présentations.

4. Choisissez le bon moment
Dans l’immobilier, on dit que les trois mots clés du succès sont : l’emplacement, l’emplacement, l’emplacement. Lorsqu’il s’agit de fermer une vente, on pourrait dire que les trois mots clés du succès sont : le timing, le timing, le timing.

Beaucoup de vendeurs qui disent avoir du mal à fermer leurs ventes font l’erreur d’être beaucoup trop pressé. Voici un exemple qui vous fera comprendre ce que je veux dire : « Bonjour mademoiselle, je m’appelle Luc, je suis un très beau garçon, propre et je suis riche, vous voulez vous marier avec moi ? » Agir de la sorte est l’équivalent du vendeur qui rencontre un client potentiel et qui lui dirait dans les premières minutes : « Bonjour je m’appelle Luc et je suis le meilleur vendeur ici. Regardez, voici une belle thermopompe très efficace, elle coûte 10 000$, vous voulez l’acheter ? »

Si vous avez de la difficulté à fermer vos ventes, c’est probablement parce que vous avez sauté plusieurs étapes au préalable comme : gagner la confiance du client, établir des liens communs, faire une bonne entrevue de consultation afin de déterminer les besoins et les désirs du client, présenter seulement les points qui intéressent vraiment votre client potentiel, etc.

5. Observez les signaux d’achat
Aussitôt que l’étape de l’entrevue de consultation est terminée et que vous savez exactement les besoins et les désirs de votre client potentiel, observez les signaux d’achat que ce dernier vous lance et saisissez ces occasions pour faire des tentatives de fermeture. Écoutez vos clients potentiels non seulement avec vos oreilles, mais avec vos yeux également. Voici quelques exemples de signaux d’achat :

  • Il touche le produit et il a un sourire sur le visage.
  • Le client se rapproche de vous pour mieux se concentrer.
  • Il examine certaines parties de votre proposition et vous pose des questions d’utilisateur.
  • Il change sa posture (se décroise les bras et les jambes), son expression faciale (il rit ou sourit souvent) et son ton de voix (enthousiasme).
  • Il répète les avantages que vous venez de lui mentionner.
  • Il fait un commentaire favorable sur votre produit ou service.
  • Il demande le prix (il s’agit d’un des signaux les plus évidents). Ne tentez pas une fermeture toutefois avant d’avoir fait une bonne entrevue de consultation.
  • Il vous demande si vous l’avez en inventaire ou quand il pourrait être disponible.
  • Il se dit prêt : « C’est en plein ce que je recherchais! ».

6. Utilisez une phrase de transition
Avant de tenter une question de fermeture, utilisez toujours une phrase de transition. Cette phrase vous permettra de savoir si votre client potentiel à d’autres interrogations en tête. Une bonne phrase de transition pourrait être : « M. Tremblay ceci termine ma présentation, avez-vous des questions ? » Si c’est le cas, répondez du mieux que vous pouvez et demandez-lui ensuite : « D’autres questions M. Tremblay ? »

La phrase de transition vous permet de répondre immédiatement aux objections potentielles de votre futur client. Il vaut mieux que ces questions vous soient posées maintenant plutôt qu’une fois que vous aurez demandé la commande.

7. Offrez toujours un choix
Les gens n’aiment pas prendre des décisions, mais ils adorent faire des choix! Aidez-les donc en leur posant des questions alternatives. Il ne s’agit pas ici toutefois de lui demander s’il veut votre produit ou service, oui ou non ! Demandez-lui toujours de choisir entre deux options où vous serez gagnant dans les deux cas. Peu importe l’option choisie, vous obtiendrez la commande, par exemple :

  • « J’ai maintenant besoin de votre approbation pour procéder. Est-ce que vous préférez qu’on débute cette semaine ou la semaine prochaine ? »
  • « Vous préférez régler comptant ou par carte de crédit ? »
  • « Préférez-vous la couleur bleue ou jaune ? »
  • « Pour débuter, préférez-vous 80 caisses ou une palette ? »
  • « Vous préférez un cours privé ou public ? »
  • « Préférez-vous qu’on vous le livre ou l’apporter avec vous ? »
  • « Comme dessert, vous préférez un gâteau au fromage ou au chocolat ? »

8. Changez votre vocabulaire
Au moment de la conclusion de la vente, surveillez votre vocabulaire. En fait, il y a trois mots que vous devez absolument remplacer. Évitez de mentionner les mots : signature, contrat et prix. Ces mots déclenchent des émotions négatives et ils font peur. Remplacez-les plutôt par des mots comme : approbation, formule d’entente et investissement. Quelle phrase préférez-vous :

  1. Le produit X coûte 10 000$, voici le contrat, signez en bas s.v.p.
  2. L’investissement pour le produit X est de seulement 10 000$, voici la formule d’entente, j’aurais besoin de votre approbation ici s.v.p.

9. Gardez le silence
La pression du silence est la seule pression que vous devriez faire lors d’une présentation de vente professionnelle. Après avoir demandé la commande, taisez-vous. Chut! Tss-tss, pas un mot… Après avoir posé une question de fermeture à votre client, gardez le silence même si vous avez une envie folle de parler. Ne répondez pas à sa place. Votre client potentiel réfléchit. Peut-être cherche-t-il à justifier sa décision, à voir comment il peut échelonner ses paiements ou à l’entrer dans son budget. Il a besoin d’être seul avec lui-même. Taisez-vous pendant ces quelques secondes qui peuvent paraître interminables pour un vendeur novice, et respectez son temps de réflexion.

10. Quand vous avez terminé, partez!
Évitez de rester là trop longtemps à discuter avec votre nouveau client. Il a probablement autre chose à faire et vous également. Vous risqueriez de soulever un point auquel il n’avait pas pensé et qui pourrait le faire changer de décision. Ne faites pas ce qu’on appelle du « overselling ». Vous avez conclu la vente, félicitez-le de sa décision, remerciez-le et partez.

Si vous mettez en application ces 10 conseils et que vous avez encore de la difficulté à conclure vos ventes, c’est que vos clients potentiels ne vous font pas assez confiance. Travaillez alors à gagner davantage la confiance de vos clients potentiels avant de faire des tentatives de fermeture. Utilisez votre intuition. Suite à une présentation, si vous n’obtenez pas la commande, tentez du moins d’obtenir un autre rendez-vous ou assurez-vous qu’il soit abonné à votre infolettre afin de garder contact. Envoyez-lui régulièrement de la valeur et quand le « timing » sera bon, il pensera à vous en premier.

Patrick Leroux CSP est entrepreneur, conférencier, coach d’affaires et auteur. Pour vérifier sa disponibilité pour qu’il présente une conférence inoubliable lors de votre prochain événement, contactez-le au 450-939-3240 ou patrick@patrickleroux.com

Comment réussir vos lunchs d’affaires

Un client ou prospect accepte votre invitation à dîner. Bravo! Voici une excellente opportunité de bâtir une relation ou peut-être même de conclure une vente. Maintenant, que devez-vous faire afin de rentabiliser cette rencontre? Voici 12 idées « actions » afin de réussir vos prochains lunchs d’affaires.

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1) Choisissez le restaurant préféré de votre client ou du moins son type nourriture préféré. Assurez-vous que vous aurez suffisamment de place et que l’endroit n’est pas trop bruyant.

2) Si possible, passez prendre votre client à son bureau. Ainsi, vous aurez plus de temps pour faire connaissance dans la voiture.

3) Une fois à l’intérieur du restaurant, offrez toujours la meilleure place à votre client. Ne faites pas en sorte qu’il soit assis face à un mur par exemple.

4) Intéressez-vous à lui et tentez de trouver des intérêts communs avec votre client. Parlez de tout et de rien au début : ses passe-temps, ses sports préférés, ses passions, sa famille, ses destinations voyage préférées, ses origines, de l’école qu’il a fréquentée, comment il en est arrivé à son poste actuel, etc.

5) Soyez toujours très poli et courtois avec tout le personnel. Ne vous plaignez pas même si le service est médiocre et que la nourriture n’est pas à la hauteur.

6) Surveillez vos manières. Fermez votre cellulaire, ne vous maquillez pas à table, ne parlez pas la bouche pleine, ne lichez pas votre assiette avec votre pain et surtout ne vous nettoyez pas les dents avec la carte d’affaires de votre client! Si vous n’avez rien à dire de positif au sujet d’une autre personne, ne dites rien.

7) Si vous rencontrez une personne que vous connaissez dans le restaurant, dites-lui bonjour et présentez-lui rapidement votre invité comme étant une personne importante.

8) Posez des questions sur son organisation et ses besoins. Demandez-lui qui sont ses clients idéaux. Peut-être serez-vous en mesure de lui présenter vos contacts et l’aider à augmenter son chiffre d’affaires.

9) Attendez que votre client parle d’affaires en premier. Attendez toujours qu’il vous ouvre la porte. Soyez patient.

10) Payez à l’avance le serveur. Donnez-lui votre carte de crédit discrètement plutôt que de l’argent comptant. N’attendez pas que l’addition arrive sur la table. Donnez 20 % de pourboire.

11) À la fin du repas, tentez d’obtenir immédiatement un autre rendez-vous avec lui à son bureau ou le vôtre cette fois.

12) Dans les 24 heures, faites-lui parvenir une note de remerciement par courriel ou encore mieux par courrier. Votre client fera WOW!

Vous avez maintenant tous les ingrédients nécessaires afin de bien réussir vos prochains lunchs d’affaires. N’oubliez pas que vous n’aurez jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression. Ne manquez surtout pas votre chance.

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7 trucs pour vaincre le perfectionnisme

La poursuite de l’excellence est très saine et très satisfaisante psychologiquement. La poursuite de la perfection par contre est frustrante, insensée et constitue une terrible perte de temps. Selon les psychologues, les racines même du perfectionnisme proviennent d’un immense besoin de se faire accepter.

Nous essayons donc d’être parfait afin d’éviter toute critique, tout jugement négatif ou tout rejet de la part des autres. Voici à cet effet 7 trucs efficaces qui vous aideront à vaincre cette mauvaise habitude une fois pour toute.

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1. Fixez-vous des objectifs réalistes
Fixez-vous des objectifs réalistes et réalisables, basés sur vos besoins et vos désirs, plutôt qu’en réponse à des attentes extérieures. Vos objectifs devraient être personnels et non pas imposés par d’autres que vous. Fixez-vous des objectifs simplement à un niveau supérieur à celui que vous avez déjà atteint dans le passé.

2. Passez à l’action maintenant et perfectionnez plus tard
N’attendez pas d’avoir 100 % des informations sous la main avant de prendre une décision, cela risque de ne jamais arriver. Sauf pour des cas exceptionnels, aussitôt que vous avez plus de 60 % des informations dont vous avez besoin, allez-y et foncez. Observez ce qui se passe et réglez votre tir au bon moment. 3. Gardez vos objectifs à l’esprit. Certaines personnes passent la majeure partie de leur temps sur des choses d’importance secondaire. Avant d’investir plus de temps que nécessaire dans un travail, questionnez-vous sur la pertinence de ce projet par rapport à vos objectifs. Le temps que vous accordez à un projet devrait toujours correspondre à la valeur de ce projet par rapport à vos objectifs et non par rapport à ce que vous ressentez.

4. Ne vous comparez pas aux autres
Débarrassez-vous de cette mauvaise habitude de vous comparer aux autres. La seule personne à qui vous devriez vous comparer, c’est à vous-même. Ne vous attendez pas à être meilleur que les autres dans tout. Cessez d’être en compétition avec le monde entier. Le meilleur de votre talent n’atteint peut-être pas la perfection, mais c’est très bien ainsi.

5. Donnez-vous le droit à l’erreur
Acceptez le fait que vous ne vivez pas dans un monde parfait, que vous n’êtes pas parfait et donnez-vous le droit à l’erreur. Dites-vous que vous avez peut-être été créé à l’image de Dieu mais que vous n’êtes pas Dieu! Faites de votre mieux selon les circonstances qui vous sont données et reconnaissez vos limites. Parvenir à développer pleinement ses habiletés est un processus continu qui demande temps et discipline.

6. Ne prenez pas les reproches personnellement
Lorsque vous échouerez ou recevrez des critiques dans le futur, limitez votre réaction à la situation spécifique plutôt que de généraliser et de laisser les critiques influer sur votre estime personnelle. Réalisez que ce n’est pas vous que les gens rejettent, mais plutôt votre travail ou votre offre. N’oubliez pas que vous représentez bien plus que ce que vous faites comme travail.

7. Déléguez la perfection
Un excellent travail complété à 90 %, qui vous a demandé cinq heures de travail, exigera de vous cinq heures supplémentaires de travail pour accomplir le 10 % qui vous manque pour atteindre la perfection. Le tout est de se demander si l’effort requis en vaut vraiment la peine. Si tel est le cas, déléguez alors la perfection à quelqu’un d’autre.

Peu importe si votre perfectionnisme provient des attentes irréalistes de vos parents, de vos professeurs ou d’anciens patrons, ou encore s’il est une habitude acquise au fil des années à chercher l’acceptation des autres, décidez d’abandonner une fois pour toutes votre quête de la perfection et décidez d’utiliser le temps que vous économiserez ainsi à travailler sur vos vraies priorités et à vivre une vie plus équilibrée.

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Leçons apprises des moins bons versus des meilleurs vendeurs

Il y a quelques années, nous avons mis une pancarte à vendre devant notre maison de Rosemère. Ma copine a pleuré. Elle aimait beaucoup cette maison. Notre première fille y était née.

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Une semaine plus tard, la maison était déjà vendue ! Dans les semaines qui ont suivi, nous avons alors visité plusieurs belles maisons sur la rive nord et ma copine a retrouvé son beau sourire ! Nous avons donc eu à interagir avec une bonne douzaine de courtiers immobiliers. Comme clients, j’aimerais vous faire part de dix observations qui nous ont marqués et qui je l’espère feront de vous un bien meilleur vendeur ou représentant.

1. Les moins bons courtiers qui ont visité notre maison lorsque nous étions à la recherche d’un courtier inscripteur ne se sont jamais intéressés à nous. C’est à peine s’ils nous ont demandé ce que nous faisions dans la vie… Ils étaient très centrés sur eux-mêmes et ils ne parlaient que d’eux et de leurs accomplissements : « Moi, moi, moi, je, je, je… ». Les bons courtiers par contre, ont pris le temps de nous demander ce que nous faisions dans la vie et ils nous posaient beaucoup de questions. Ils semblaient vraiment s’intéresser à nous. En d’autres mots, ils étaient gentils, sympathiques et ils avaient une bonne écoute. Nous nous sentions en confiance en leur présence.

2. Les moins bons courtiers n’ont fait presque aucun commentaire favorable sur notre maison, beaucoup trop pressé de nous parler de chiffres et de leur taux de commission. Les bons courtiers par contre qui ont visité notre maison nous ont félicités pour notre belle maison, la décoration, le paysagement et l’aménagement de notre cour. Nous étions flattés. Leurs visages étaient souriants et ils nous rendaient fiers de notre propriété et des éléments que nous avions mis en place pour l’améliorer.

3. Les moins bons courtiers avaient une attitude et un regard condescendants envers nous puisque nous étions assez jeunes et que le prix des maisons visitées était très élevé. Leurs regards semblaient dire : « Vous n’avez pas les moyens de vous payer une telle maison et vous me faites probablement perdre mon temps ». Les meilleurs courtiers par contre tentaient de nous qualifier en nous demandant à quel endroit était situé notre maison actuelle et quels métiers nous occupions.

4. Les moins bons courtiers n’utilisaient pas nos prénoms lorsqu’ils s’adressaient à nous. Les bons courtiers par contre nous appelaient par notre prénom et ils les utilisaient souvent lors de nos visites. Ces derniers savaient très bien que le prénom d’une personne est le son le plus doux qu’elle aime entendre à ses oreilles.

5. Les moins bons courtiers, même après leur avoir mentionné de cesser de nous vouvoyer, continuaient à le faire, ce qui nous rendait mal à l’aise et inconfortables. Les meilleurs courtiers par contre respectaient notre volonté de nous faire tutoyer. La complicité était ainsi bien meilleure.

6. Les moins bons courtiers répondaient constamment à leur téléphone portable et osaient même nous interrompre dans le milieu d’une phrase ! Les meilleurs courtiers par contre, soit ignoraient leurs téléphones portables lorsqu’il sonnait afin de nous donner toute leur attention ou soit ils nous demandaient la permission de répondre lorsqu’il s’agissait d’un appel très urgent.

7. Les moins bons courtiers manquaient de disponibilité puisqu’ils avaient trop de dossiers à traiter à la fois (évaluations, inscriptions, offres d’achat, inspections, etc). Ils prenaient beaucoup de temps avant de retourner leurs appels et leurs courriels. Pourtant, nous étions des acheteurs très motivés puisque nous mentionnions toujours que nous venions de vendre notre maison et qu’il fallait nous en trouver une autre rapidement. Les meilleurs courtiers par contre avaient appris à déléguer des tâches moins importantes et moins essentielles à leur succès et ainsi ils avaient plus de temps à nous consacrer.

8. Les moins bons courtiers parlaient toujours en mal des autres propriétés que nous envisagions acheter lorsqu’elles étaient inscrites avec d’autres soutiers. Il était évident qu’ils n’avaient à coeur que leurs propres intérêts et non les nôtres. Les meilleurs courtiers par contre nous parlaient toujours en bien des autres propriétés : « Ha oui vous avez du goût, il s’agit d’un très bon choix également », « J’adore cette maison, son emplacement est particulièrement extraordinaire », « Le sous-sol de cette maison et la cave à vin sont vraiment magnifiques », etc.

9. Les moins bons courtiers, suite à une visite infructueuse, ne nous offraient même pas de nous proposer d’autres maisons qui pourraient correspondre à nos besoins et à nos goûts. Les meilleurs courtiers par contre nous proposaient tous de faire des recherches pour nous afin de trouver notre maison idéale.

10. Malheureusement, 100% des courtiers que nous avons rencontrés n’ont pas fait une analyse de nos besoins, ils se sont contentés de présenter leurs « produits ». Il aurait pourtant été simple de poser des questions du genre : « Pourquoi exactement avez-vous vendu votre maison ? », « Qu’est-ce qui est le plus important lorsque vous regardez pour acheter une maison ? », « Quelle grandeur minimum désirez-vous en pieds carrés de superficie habitable ? », « Avez-vous des enfants et si oui quel âge ont-ils ? », « Prévoyez-vous en avoir d’autres ? », « À quelle école vont-ils ou avez-vous une préférence pour les écoles ? », « Dans quelle pièce dans la maison passez-vous le plus de temps ? », « Cuisinez-vous beaucoup ? » « Est-ce qu’un grand terrain ou une maison située dans un croissant est important pour vous ? », « Est-ce que le revêtement extérieur sur les quatre côtés doit être absolument 100% en briques ou en pierres ? », etc. Apprendre à poser des questions afin d’évaluer les besoins des clients avant de leur proposer une offre est pourtant un minimum en vente.

11. Malheureusement, 100% des courtiers que nous avons rencontrés n’ont pas gardé contact avec nous. Aucun n’avait en place un système de suivis automatique qui apporte de la valeur comme une infolettre par exemple afin d’entretenir la relation. Difficile pour nous de les référé à des amis et peu probable qu’on pense à eux lorsque viendra le temps, un jour, de vendre notre maison.

Wow, voici 11 leçons de vente incroyable que vous pouvez mettre en application immédiatement peu importe ce que vous avez à vendre, que ce soit des maisons, des voitures, des produits financiers, des stylos ou des idées. Ha oui j’oubliais, fort heureusement nous avons finalement trouvé une maison belle et confortable qui correspond vraiment à nos besoins et nos goûts.

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Comment reprendre le contrôle de sa vie

Avez-vous  parfois l’impression de manquer d’heures à la fin de vos journées ? De manquer de journées à la fin de vos semaines ? En d’autres mots, aimeriez-vous reprendre le contrôle de votre vie ? Je vous suggère de mettre en application les trois idées suivantes afin de reprendre le contrôle de votre vie et ainsi obtenir plus de résultats en moins de temps, avec moins d’efforts et surtout avec plus de plaisir.

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1. DÉFINISSEZ VOTRE MISSION PERSONNELLE

La première étape afin de reprendre le contrôle de votre vie est de vous constituer une mission personnelle. Votre mission définit qui vous êtes et va affecter tous les choix que vous faites dans la vie ainsi que la façon dont vous passez votre temps. Elle est l’expression des valeurs les plus importantes pour vous. Elle vous inspire, vous motive, vous pousse à aller plus loin, vous donne une direction vers l’endroit où vous voulez aller vers la personne que vous voulez devenir.

Comme disait l’auteur américain Stephen Covey, beaucoup de gens travaillent fort pour monter l’échelle du succès pour se rendre compte une fois rendu en haut que leur échelle était accotée au mauvais mur. Ils ne vivent pas en accord avec les valeurs qui sont les plus importantes pour eux. Quelles sont les valeurs les plus importantes dans votre vie ? L’amour, la santé, la liberté, le plaisir, le respect, l’honnêteté, la réussite professionnelle, le partage ou l’amitié ? Les avez-vous placées en ordre de priorités ? Vivez-vous en accord avec ces valeurs au quotidien ? Si oui, vous êtes probablement une personne heureuse, car plusieurs s’accordent pour dire que le succès est de posséder en abondance ce qui a  le plus de valeur pour soi.

2. FIXEZ-VOUS DES OBJECTIFS MOTIVANTS

La deuxième étape afin de reprendre le contrôle de votre vie est de vous fixer des objectifs motivants qui sont en accord avec vos valeurs les plus importantes. Afin de bien organiser votre temps et votre vie, il est primordial de savoir dans quelle direction vous allez. Définir vos objectifs, c’est établir vos priorités. Vous pourrez par la suite décider des endroits les plus favorables où investir notre temps.

Avez-vous des objectifs à court, moyen et long terme dans tous les domaines de votre vie (professionnel, financier, personnel, santé, sociale, intellectuelle, spirituelle et acquisitions) ? Les avez-vous mis par écrit avec une date butoir de réalisation. Avez-vous fait un plan d’action pour les réaliser ? Les avez-vous affichés quelque part à la maison ou au bureau afin de les visualiser ?

3. PLANIFIEZ VOTRE HORAIRE DU TEMPS SELON VOS PRIORITÉS

La troisième étape afin de reprendre le contrôle de votre vie est de planifier votre horaire du temps selon vos priorités. Je parle ici du 20% de vos activités qui vous rapportent 80% de vos résultats. Pour qu’il y ait un lien entre vos buts à moyen et long terme et vos activités quotidiennes, vous devez apprendre à planifier vos activités hebdomadairement, le vendredi après-midi ou le dimanche soir, plutôt que quotidiennement ou mensuellement vos activités. Vous devez absolument bloquer du temps à l’avance dans votre agenda pour faire les choses qui sont vraiment importantes pour vous.

Ne faites surtout pas des listes de choses à faire (to do list). Il ne s’agit la plupart du temps que de listes d’intention. Bloquez plutôt spécifiquement vos activités prioritaires à des journées et des heures précises (tôt le matin de préférence) dans votre agenda et respectez ces rendez-vous comme s’il s’agissait de rendez-vous avec des personnes importantes. N’êtes-vous pas une personne importante.

Le  principe fondamental en gestion du temps et des priorités est de ne jamais débuter vos semaines avant des avoirs terminés dans votre agenda. Environ 60% de votre temps sera ainsi planifié d’avance. Votre agenda devrait être votre meilleur ami et vous accompagner partout où vous allez. Les gens ne deviennent pas organisés simplement parce qu’ils possèdent un agenda, ils possèdent un agenda parce qu’ils sont des personnes organisées.

En conclusion je vous ai proposé trois idées pour reprendre le contrôle de votre vie soit : définir votre mission personnelle, vous fixer des buts motivants dans tous les domaines de votre vie et planifier votre horaire du temps selon vos priorités. Mettez en application ces idées  et je suis persuadé que vous également obtiendrez plus de résultats, en moins de temps, avec moins d’effort et avec plus de plaisir !

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Comment devenir millionnaire

L’argent n’est pas ce qui est le plus important dans la vie. Il n’est certes pas garant du bonheur, mais il contribue du moins à la bonne humeur! Si vous êtes dans les affaires, l’argent n’est en fait qu’une mesure de la valeur du service rendu. Plus vous rendrez de services à un grand nombre de gens, plus vous ferez de l’argent.

Pour être informé en premier du lancement de la promotion 2016 de mon programme Devenir Riche, cliquez ici.

Votre vie vous appartient; vous avez le choix d’être riche ou pauvre. Mais je vous suggère de suivre le conseil d’un vieux sage qui disait : « J’ai été riche et j’ai été pauvre; riche c’est mieux! » La plupart des gens n’ont jamais pris la décision de devenir riches et c’est la principale raison, pourquoi ils sont pauvres au moment de prendre leur retraite.

Qui n’aimerait pas un jour devenir millionnaire et acquérir par le fait même une indépendance financière? Il s’agit d’une aspiration tout à fait légitime pour quiconque. Si vous voulez vraiment devenir riches, voici, selon l’auteur américain Brian Tracy, les cinq principales façons de devenir millionnaire.

1. Divers

1 % seulement des millionnaires ont fait leur argent grâce à des inventions, au monde du spectacle et du sport, par l’entremise de droits d’auteur de chansons ou de livres, en gagnant à la loterie, en recevant un héritage, etc.

2. Devenir un professionnel de la vente

5 % des millionnaires sont les meilleurs vendeurs dans leur domaine d’activité. Ils n’ont pas démarré leur entreprise, ils n’ont pas fait de grandes études et ils n’ont pas obtenu de diplôme professionnel pour la plupart. Ils sont simplement devenus d’excellents vendeurs de leurs produits et/ou services et ils reçoivent en retour de très généreuses commissions pour leurs services. Leur secret afin de devenir millionnaire est également d’avoir investi leur argent de façon conservatrice.

3. Devenir un professionnel (expert)

10 % des millionnaires sont des professionnels comme les médecins, les avocats, les comptables, les ingénieurs, etc. Ces personnes sont devenues les meilleures dans leur métier respectif et, par conséquent, elles ont très bien payé pour ce qu’elles font. Le top 5 % des meilleurs dans tous les domaines d’activités gagne de 10 à 20 fois de plus que la moyenne. Leur secret afin de devenir millionnaire est qu’elles ont investi leur argent de façon conservatrice.

4. Devenir un administrateur senior

10 % des millionnaires sont des gens qui ont joint les rangs de grandes entreprises et qui y ont travaillé plusieurs années. En plus d’êtres très bien rémunérés, les présidents et vice-présidents, reçoivent des bonus, des actions et souvent une participation aux bénéfices. En 2009, la Caisse de dépôt et placement (CDP) a versé en indemnités de départ une somme de près de quatre millions de dollars à six dirigeants. Jack Welch ancien président de G.E. jusqu’en 2002, reçoit depuis neuf millions de dollars par année, et ce, jusqu’à sa mort. Et finalement, il est estimé que Michael Eisner qui a pris sa retraite de la corporation Disney en 2005 a reçu plus d’un milliard de dollars comme bonus au courant de ses 21 années de service.

En 2010, les directeurs généraux des 350 plus grandes entreprises aux USA ont gagné en moyenne 9,3M$ par année (Conseil en gestion Hay Group). En 2010, Philippe Dauman de Vivacom a gagné 84,3 M$, Larry Ellison d’Oracle 68,6M$ et Laslie Moonves de CBS 53,9M$.

5. Devenir un entrepreneur

74 % des gens qui sont millionnaires sont des entrepreneurs. Ils ne sont partis de rien et ils ont bâti leur affaire petit à petit et, au fil des années, ils sont devenus millionnaires. Ces gens ne travaillent pas beaucoup plus fort que la moyenne des gens; ils travaillent surtout plus intelligemment en faisant travailler les autres pour eux et en ayant plusieurs sources de revenus. En fait, je crois que plus une personne est intelligente, moins elle travaille et plus elle fait d’argent.

En conclusion, il existe tant de façons pour vous de devenir millionnaire qu’il est presque impossible de ne pas accomplir votre objectif d’indépendance financière si vous le voulez vraiment. Oui définitivement, vous enrichir, ce n’est pas du hasard!

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L’engagement

Vous aimeriez connaître une des clés maîtresses du succès? Il s’agit tout simplement de l’engagement. Je ne parle pas ici d’une intention ou d’un intérêt quelconque envers la réalisation d’un objectif. Je parle d’un engagement irrévocable à atteindre son but. Malheureusement, très peu de gens en sont capables, mais pour ceux qui le sont, le succès, la santé, la prospérité et l’abondance sont pratiquement garantis.

Lorsqu’un projet vous intéresse, vous ne le faites généralement que si les circonstances et le contexte sont favorables. Par contre, lorsque vous prenez un engagement définitif à atteindre un but, il n’y a plus d’excuses, de prétextes, d’échappatoires ou de volte-face possibles, seuls les résultats comptent.

Voici quelques exemples d’engagements que vous pourriez prendre afin d’améliorer la qualité de votre vie. Vous pourriez vous engager à :

— Ne plus manger de chips, de popcorn ou de chocolat après 18 h.

— Faire 50 redressements assis et 50 « push-up » chaque matin au lever.

— Faire une heure de gym au moins 3 fois par semaine.

— Faire 30 minutes de jogging par jour.

— Ne plus boire d’alcool pendant un mois.

— Ne plus fumer pendant les heures de bureau soit entre 8 h 30 et 17 h.

— Faire un minimum de 10 appels de prospection par jour.

— Jouer seul avec vos enfants au moins 20 minutes par jour.

— Frapper 50 balles ou plus avant chaque partie de golf.

— Lire au moins 15 minutes par jour avant de vous coucher le soir.

— Etc.

Les gens qui s’engagent à fond vers l’atteinte d’un but ne font pas d’exceptions. Leurs engagements sont ainsi beaucoup plus faciles à tenir. Si vous vous engagez par exemple à ne plus manger de frites, vous n’en mangez plus. Pas même quelques-unes de temps en temps. Votre engagement doit être irrévocable. Point à la ligne. Fin de la discussion. Vous ne devez même plus y réfléchir, peu importe les circonstances et les occasions. Vous ne devriez jamais avoir à considérer votre résolution à nouveau. Votre décision doit être finale, définitive et sans appel.

Prendre un engagement à 100 % vous rendra la vie beaucoup plus facile et vous éprouverez ainsi une douce paix intérieure. Finis les conflits internes. Finies les hésitations. Fini le « branlage dans le manche ». Prendre un engagement à 100 % vous permettra de canaliser votre énergie sur les choses qui comptent vraiment pour vous.

Par exemple, si votre engagement est d’aller au gym au moins 3 fois par semaine, vous devez le faire, peu importe ce qui arrive. Même si vous êtes en voyage d’affaires à l’extérieur ou en vacances, ou que vos enfants vous ont tenu réveillé toute la nuit et que vous n’avez pas dormi, ou que vos amis vous ont invité dans un 5@8, ou que vous vous soyez blessé à un coude ou tout simplement parce que vous n’avez pas envie, vous devez aller au gym. C’est une promesse que vous faites à vous-même et vous devez la respecter.

Si vous hésitez à prendre des engagements parce qu’ils vous paraissent trop difficiles ou impossibles à tenir, libre à vous toutefois de vous créer certaines dérogations. Par exemple, vous pourriez avoir comme règle de vous accorder un dessert le samedi soir seulement. Pas le mardi ou le vendredi, le samedi soir seulement. Faites très attention toutefois de respecter vos dérogations à la lettre. Dans le cas de la nourriture par exemple, ce n’est pas ce qu’on mange une fois par semaine ou une fois par mois qui est dommageable, c’est ce que vous mangez régulièrement.

Pour la majorité des gens, lorsque leur engagement est brisé une fois, c’est terminé. C’est la raison pour laquelle la plupart des gens abandonnent le gym après trois semaines. Au début, ils sont très motivés et respectent leur programme d’entraînement à la lettre. Après quelques jours ou quelques semaines, ils commencent à se trouver de bonnes excuses pour sauter des séances d’entraînement. Ça y est, c’est fini, kapout, terminado! Les exceptions deviennent la norme et très peu de temps après, ils abandonnent.

Je vous l’accorde, il est parfois très difficile de résister à la pression sociale. Bien que vos amis et votre conjoint (e) soient au courant de votre engagement, certains tenteront de vous faire plier. Résistez et rappelez-vous la promesse que vous vous êtes faite. Vos amis et votre conjoint (e) ne vous trouveront peut-être pas « cool » et même un peu rigide sur le coup, mais avec du recul, ils éprouveront une très grande admiration et un très grand respect pour votre discipline et votre intégrité envers vous-même.

L’engagement est définitivement l’une des clés maîtresses du succès. Toutefois, afin de réussir à tenir vos engagements, ils doivent être pris à 100 %. Respectez vos promesses envers vous-même et le succès, la santé, la prospérité et l’abondance seront à votre portée.

Patrick Leroux CSP est entrepreneur, conférencier, coach d’affaires et auteur. Pour vérifier sa disponibilité pour qu’il présente une conférence inoubliable lors de votre prochain événement, contactez-le au 450-939-3240 ou patrick@patrickleroux.com

Les lunchs d’affaires : utiles ou inutiles ?

Il y a quelque temps, le journaliste et chroniqueur bien connu au Québec, Richard Martineau, écrivait dans sa chronique hebdomadaire du Journal de Montréal intitulée La culture du lunch : « S’il y a des choses qui sont parfaitement inutiles, selon moi, ce sont les lunchs d’affaires (…) une monumentale perte de temps et d’argent. »

Suite à la lecture de sa chronique, j’ai décidé de lui écrire un courriel. Le voici :

Bonjour M. Martineau, 

J’aime beaucoup vos chroniques et je suis d’accord avec vous à 90 % du temps, mais dans votre chronique de ce matin, je dois vous dire que vous avez tort. 

Bien que je sois d’accord avec le fait que bien des organismes publics gèrent très mal l’argent de nos impôts, je ne suis pas du tout d’accord pour dire que les lunchs d’affaires sont « parfaitement inutiles et une monumentale perte de temps et d’argent » comme vous le dites. Au contraire, ils sont très, très utiles à condition de ne pas exagérer la facture. 

Les lunchs au resto, les parties dans un club de golf, tout comme le fait d’inviter des clients actuels ou potentiels pour aller voir un match des Canadiens au Centre Bell, ont pour but de créer des liens entre individus. 

En fait, on parle très peu d’affaires lors de ces rencontres. Plus de 80 % du temps est consacré à tisser des liens, à rigoler et à apprendre à connaître l’autre personne, par exemple ses passe-temps, ses loisirs, ses projets de voyage, sa conjointe ou son conjoint, ses enfants, ses passions, etc. 

Les vraies affaires se passent souvent dans les journées et les semaines qui ont suivi ces rencontres. Affaires qui n’auraient probablement pas lieu eu lieu sans ces rencontres moins formelles à l’extérieur du bureau. 

Pour utiliser une analogie, puisque vous aimez bien le faire dans vos chroniques, ces rencontres sont un peu comme un célibataire qui désirerait conquérir une jolie fille. S’il est le moindrement futé, comme première rencontre, il ne lui proposera pas une rencontre chez lui et encore moins dans sa chambre à coucher! Il va sortir avec elle, apprendre à la connaître et la courtiser. 

C’est exactement la même chose dans le monde des affaires. Avant de demander à un client d’acheter ou de signer un contrat, on va le sortir, on va apprendre à le connaître et le courtiser. Ce processus peut prendre plus au moins de temps selon la fille, excusez, selon le type de contrat et selon le type de client. 

Pour certains clients potentiels, un lunch dans un fast-food peut être suffisant pour les séduire. Pour d’autres clients, ça peut prendre 3, 5 ou 10 matchs ou concerts au Centre Bell dans une loge privée! 

En ce qui a trait aux clients actuels, les études ont démontré que 61 % nous quittent pour cause d’indifférence. On les tient pour acquis et on cesse de leur dire à quel point on les apprécie. 

Donc, entretenir ses relations et remercier ses clients actuels avec des lunchs d’affaires au resto ou tout autre type de sortie est tout à fait essentiel et même très recommandé pour développer des nouvelles affaires et pour fidéliser ses clients actuels. 

Les affaires, ça se passe entre humains et non entre des machines. La relation de confiance entre deux individus est la chose la plus importante dans les relations d’affaires, sinon tout le monde n’achèterait que via Internet et ça serait toujours le plus bas prix qui l’emporterait nonobstant la qualité du produit ou du service. 

Je dirais donc que les lunchs d’affaires sont très, même très utiles pour bâtir et entretenir des relations avec des clients actuels et potentiels.

Patrick Leroux CSP est entrepreneur, conférencier, coach d’affaires et auteur. Pour vérifier sa disponibilité pour qu’il présente une conférence inoubliable lors de votre prochain événement, contactez-le au 450-939-3240 ou patrick@patrickleroux.com

Pourquoi existez-vous ?

Pourquoi existez-vous ? Quel est votre but sur cette terre ? Si votre réponse est : « Survivre, payer mon hypothèque, mes factures et boire ma bière ! » Votre vie doit être plutôt misérable !

Voici, en général, la vie typique d’une personne :

Naissance

Mange et dort

Joue avec des jouets

Va à l’école

Apprends à conduire

Va à l’école, mais tu payes maintenant !

Obtiens un emploi

Joue avec des jouets plus chers

Mariage

Achat d’une maison

Enfants

Regarde ses enfants manger, dormir, jouer avec des jouets et aller à l’école

Retraite

Mort!

Ma question pour vous est la suivante : « Que faites-vous, à part vous amuser un peu, en attendant de mourir? » Quelle différence faites-vous dans la vie des autres? Parce que cette différence est justement ce qui sépare les gens qui ont vraiment du succès des autres.

Je crois que les vrais gagnants ne se satisfont pas de vivre une vie « moyenne ». Ils ne se contentent pas de « juste passer le temps ». Ils possèdent tous un but exaltant qui les anime de l’intérieur.

Quand vous leur posez la question : « Pourquoi existez-vous ? »Leur réponse revient à dire qu’ils existent afin d’aider les autres. De quelles façons aidez-vous les autres par votre présence sur terre? Pour vous aider un peu, essayez des compléter la phrase suivante :

J’aide les autres à … (votre but dans la vie).

Si vous êtes incapable de compléter cette phrase, vous ne faites aucune différence pour personne sur cette terre et vous ne vivez que pour vous-mêmes. Vous mangez, dormez, jouez avec des jouets et attendez simplement de mourir.

Si vous avez été en mesure de compléter la phrase ci-dessus, tant mieux, continuez de faire une différence dans la vie des gens. Si par contre vous n’avez aucune idée, il est peut-être temps de réfléchir à votre véritable but dans la vie et comment vous déciderez de vivre une vie pleine de sens qui sera tout sauf « moyenne ».

Alors, je vous repose la question une dernière fois: “Pourquoi existez-vous?”

Patrick Leroux CSP est entrepreneur, conférencier, coach d’affaires et auteur. Pour vérifier sa disponibilité pour qu’il présente une conférence inoubliable lors de votre prochain événement, contactez-le au 450-939-3240 ou patrick@patrickleroux.com

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